26-11-2005, 02:57 PM
Une soirée qui commence par la lyonnaise Vale Poher, qui tente seule avec sa guitare folk de nous impressionner en minimalisme à la Julie Doiron/Catpower... malheureusement, son accent anglais est à couper au couteau et comme du coup on comprend ses paroles, euh, comment dire, hé bien pas grand chose pour retenir l'auditeur. On s'en va donc au bar dès le milieu du 2e morceau.
Suit donc Troy, avec son beau costume, non, son pull gris qui cache sa chemise et sa cravate, trop la classe.
Bon, côté concert (je n'ai pas la setliste mais elle est sensiblement la même que les précédents concerts à la vue de celle de Paris), j'ai eu beaucoup de mal à me détacher de Chokebore en toile de fond - ce n'est que mon 2e concert de Troy en solo, donc j'avoue n'être rentré dans le concert qu'assez modérément... même si les morceaux sont plutôt bien dans l'ensemble (j'avais pas encore l'album à ce moment-là), j'ai parfois un peu de mal avec l'effet flange sur la guitare sur les chansons "folk" qui du coup me semblent moins pertinentes que les autres. Anecdotes et délires habituels en annonce de morceaux. Adeline vient pour 3 morceaux, malheureusement le micro ne fonctionne pas sur le 1er (perfect il me semble), chouette took some $$...
Il finit son set par la légendaire galipette, puis revient en rappel pour 2 titres dont un 'big balls' assez différent musicalement d'il y a 2 ans et bien sympa.
Après le concert, je vais le saluer vers son stand, tenu par Adeline avec qui j'échange 2-3 mots sur Black Pine, notamment. J'en profite pour faire mes emplettes et me marrer sur le merchandising décalé du père Troy.
retour dans la salle pour Sébastien Schuller : début de set assez séduisant, de belles ambiances, puis ça se gâte, des morceaux convenus, qui ne s'envolent pas, c'est très bien joué, c'est propre, mais ça manque d'âme. Fatigués, on part avant la fin, ayant encore de la route à faire (dans un brouillard épais, rien de tel pour endormir).
De retour à la maison, on écoute l'album, assez sympa, les morceaux option bidouilles et sons distordus et ceux avec voix féminine s'imposent par rapport à certaines "folk songs" plus convenues.
Suit donc Troy, avec son beau costume, non, son pull gris qui cache sa chemise et sa cravate, trop la classe.
Bon, côté concert (je n'ai pas la setliste mais elle est sensiblement la même que les précédents concerts à la vue de celle de Paris), j'ai eu beaucoup de mal à me détacher de Chokebore en toile de fond - ce n'est que mon 2e concert de Troy en solo, donc j'avoue n'être rentré dans le concert qu'assez modérément... même si les morceaux sont plutôt bien dans l'ensemble (j'avais pas encore l'album à ce moment-là), j'ai parfois un peu de mal avec l'effet flange sur la guitare sur les chansons "folk" qui du coup me semblent moins pertinentes que les autres. Anecdotes et délires habituels en annonce de morceaux. Adeline vient pour 3 morceaux, malheureusement le micro ne fonctionne pas sur le 1er (perfect il me semble), chouette took some $$...
Il finit son set par la légendaire galipette, puis revient en rappel pour 2 titres dont un 'big balls' assez différent musicalement d'il y a 2 ans et bien sympa.
Après le concert, je vais le saluer vers son stand, tenu par Adeline avec qui j'échange 2-3 mots sur Black Pine, notamment. J'en profite pour faire mes emplettes et me marrer sur le merchandising décalé du père Troy.
retour dans la salle pour Sébastien Schuller : début de set assez séduisant, de belles ambiances, puis ça se gâte, des morceaux convenus, qui ne s'envolent pas, c'est très bien joué, c'est propre, mais ça manque d'âme. Fatigués, on part avant la fin, ayant encore de la route à faire (dans un brouillard épais, rien de tel pour endormir).
De retour à la maison, on écoute l'album, assez sympa, les morceaux option bidouilles et sons distordus et ceux avec voix féminine s'imposent par rapport à certaines "folk songs" plus convenues.